Ego Collector: mars 2020

Pour repenser chacun puis tous ensemble les essentiels et les communs, il nous faut dépoussiérer nos intérieurs.

"Si rêver veut dire, être ce qu'on est, alors je veux être une rêveuse"

Peter Handke, La femme gauchère, Gallimard, 1978, p. 50

"La douleur est comme une hélice

Sauf que ça ne mène nulle part

Et ce qui tourne, c'est l'hélice."

Peter Handke, La femme gauchère, Gallimard, 1978, p. 110

"Dans ma mansarde je me mets moi aussi souvent à la lucarne rien que pour voir les nuages.

Alors je sens que je vis encore."

Peter Handke, La femme gauchère, Gallimard, 1978, p. 111

Des questions à se poser, avec Max Frisch :

Par Max Frisch Questionnaires

Éditions Cent Pages Cosaques 2019

Des collages

De la ritournelle des Chleuhs © Carine Dellenbach

Les très riches heures de DDT © Carine Dellenbach

Denke an, hommage à Erich et Marcel © Carine Dellenbach

Le préjugé de l'oeil commun © Carine Dellenbach

Des photographies

Photo © Carine Dellenbach

Photo © Carine Dellenbach

Photo © Carine Dellenbach

Bastien! Photo © Carine Dellenbach

En avant Bastien Photo © Carine Dellenbach

Bastien, nuit Photo © Carine Dellenbach

Photo © Carine Dellenbach

To Claudia Andujar, Photo © Carine Dellenbach

Photo © Carine Dellenbach

Des films:

Solaris, Steven Soderbergh

La femme gauchère, Wim Wenders

Des livres:

Jonathan Swift, Modeste proposition et autres textes, Folio, 2012

Aménagement d'un hôpital

"Le parallèle pourrait facilement être poussé encore bien plus loin, si le cadre volontairement étroit de cet essai me le permettait. Pourtant, je ne puis m'empêcher de signaler de quelle immense quantité de menteurs incurables les Royaumes de Sa Majesté se trouvent submergés, quel grave et scandaleux inconvénient cette situation est pour le peuple, quel tort inconcevable elle porte aux personnes privées et de quelle urgente nécessité serait un hôpital pouvant délivrer la Nation de la malédiction que représentent de si nombreux incurables"... p. 53

Haruki Murakami, Sommeil, 10/18, 2015

Charles Ferdinand Ramuz, Présence de la mort, (1922), éditions de l'Aire, 2009

https://www.lacauselitteraire.fr/presence-de-la-mort-charles-ferdinand-ramuz

" Alors les grandes paroles vinrent ; le grand message fut envoyé d'un continent à l'autre par-dessus l'océan. La grande nouvelle chemina cette nuit-là au-dessus des eaux par des questions et réponses. Pourtant, rien ne fut entendu. "

Daniel Depland, En voie de disparition, Denoël, 2009

Un article de Jérôme Garcin, 2016; Avec en prime 22 pages de ce roman méconnu à lire!